Rosario+Vampire tome 8, chronique de Garance
Tsukuné, 15 ans, est un cancre. Afin qu'il ne redouble pas, ses parents l'inscrivent dans un lycée qui ne ne requiert pas forcément un bon niveau. A son premier jour de classe, l'adolescent s'aperçoit que ce lycée est réservé aux ... monstres ! Et oui, ces créatures toutes issues des histoires antiques veulent s'intégrer dans le monde humain. Tsukuné est donc obligé de cacher sa vraie nature sous peine de mort mais il fera aussi la rencontre de quelques spécimens sympathiques telle que Moka la vampire, Kurumu la charmeuse d'hommes ou gin le loup-garou. Un manga drôle et frais qui peut convenir aux filles comme aux garçons.
De Akihisa Ikeda
Édition Tonkam
Dans ce tome, Tsukuné, après avoir été « aspiré » par le rosaire de Moka, continue, en compagnie de Fuhai Toho et de Mizoré son périple dans les souvenirs du vampire retraçant l’anniversaire de ses 10 ans. Ils y font des découvertes incroyables quant à la vraie nature de Moka, ce qui choque profondément notre héros.
Ce retour dans le passé déborde d’informations plus étonnantes les unes que les autres. Ce tome rehausse le niveau par rapport aux précédents, dont l’histoire se décentrait un peu de nos personnages principaux. L’apparition d’Aqua, une des filles de la famille Shuzen, prend une place importante dans l’histoire et on cherche déjà à en savoir plus sur ce personnage bien mystérieux dont l’amour pour Moka est quelque peu étrange …
En clair, ce tome nous redonne le gout de lire Rosario+Vampire et on attend avec impatience les retrouvailles entre les deux sœurs de la famille Shuzen dans celui à venir.
Garance Guillot